Il piccolo Hans - anno XXI - n. 82 - estate 1994

te: così mi fu dato di rivivere, punto per punto, la descrizione di Huysmans: En levant la tete au ciel, Durtal plongeait dans une ombre profonde que n'éclairait aucune étoile, aucune lune. En regardant, en l'air, encore, mais alors juste devant lui, il apercevait, au travers des fumées d'un crépuscule, des lames d'épées déjà claires, des lames, énormes, sans poignées et sans gardes, s'amenuisant à mesure qu'elles allaient vers la pointe; et, ces lames debout à des hauteurs démesurées, semblaient, dans la brume qu'elles tranchaient, gravées de nébuleuses entailles ou d'hésitants reliefs. Et s'il scrutait, à sa gauche et à sa droite, l'espace, il contemplait, à des altitudes immenses, de chaque còté, une gigantesque panoplie accrochée sur des pans de nuit et composée d'un bouclier, colossal, criblé de creux, surmontant cinq larges épées sans coquilles et sans pommeaux, demasquinées sur leurs plats, de vagues dessins, de confuses nielles. Peu à peu, le soleil tatonnant d'un incertain hiver perça la brume qui s'èvapora, en bleuissant; et la panoplie pendue à la gauche de Durtal, au Nord, s'anima, la première; des braises roses, et des flammes de punch s'allumèrent dans les fossettes du bouclier... Fatta la tara di quel che in Huysmans è tormento di tecnica naturalistica, così io penso che Dante abbia visto certe schiarite e accensioni di vetrate gotiche (a Firenze e ad Assisi, se non a Parigi o a Chartres come piacerebbe supporre) e trattone immagini per il suo Paradiso. Nel Paradiso, è vero, c'è più luce, anzi non c'è che luce, e si passa di luce in luce con un crescendo vertiginoso, mentre nelle chiese gotiche - come disse il Carducci in una delle sue men felici odi barbare ispirata del resto dal 150

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