De la Justice dans la Revolution et dans l’Eglise - P. J. Proudhon - Vol. 5 - 1870

: OTE ET ÉCLA1RCI EMENT ' a renclus n1oins fort contre la ervi ude de e1 s t l'oppre ion <lela n ture· il n a pt abolì en notre an1e toute e pèce cl en 1norn.1 oute notion cle la ju ti e . et tout hon cl, ir il nour-.a rcndu plu lacl1 t 111oi 1 capab]e l urmonter no n1, uv'" i penchan , . _ u r - garcl do Dieu, il e t bien vrai riu out homme non l,aptisé ne verr9 jamai on r0at nr t.1ce a faPe t n·entrera pas dan la ou,eraine béati ucle · mn,is jJ ne ··cnsuit point qu'il oit damné 'il n' ( pc. commi d autre faute i;nort Ile, t il n a pa dépenàu de lui de e faire baptiser. Il en era de lui comme de enfant mort a_n bapteme qui sont recueillis dan un lieu ou ils n'ont à supporter :pi peine ni +ri te e, pri, , eulement de la présence de llieu. En r~ umé, la théoloo-ie pre ée le expliquer . emble lonner a entendre qu avant le péché d 1am la Ju tice 'tait en nou plu cléterminée la on cien e plus 'nergique, la liherté plu entiere 1 int llig nce p1u limpi le quelle n'ont été clepui · · que le penchant au mal était plus faible ou m 1me nul; la oncupiscence, 1 excitation de en e.i. des pa i n plu faible aus i, ou men1e san action. · t une diminu ion cle forces le L vie, de l'intelli nce et de la volont' 'quivalant à une_inclination po itive au mal, laquell auparaYant n exi tait pa . Que tion de q1tant11,1n nr laquelle il t évidemment imp ible d'aTriver (, une me ure pr 'ci e. En deux mot l Humanité t ID1.. le de et par a fctute; les plu vigoureux parmi e membre ne sont que de con-rale cent . La u 'ri on léfinitiYen a, }jeu qu'apre,.., la mort et sou la condition préalable rav ir :reçu la f i eu Chri t : òtez la tran fu ion du nng d ce divin m~diatcur, 1ablution aptismale 1 rurgati n T. I. 6

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