Il piccolo Hans - anno XIII - n. 51/52 - lug./dic. 1986

mème, vivait sourdement sous ma vie; j'étais un chaos dormant de milles principes féconds qui ne savaient comment se manifester ni que faire d'eux mèmes; ils cherchaient leurs formes et attendaient leurs moules (p. 625). La «frail and swooning form» joyciana decostruisce, allontanandolo dalle lettere del reale nelle quali è saldamente inscritto, l'oggetto del desiderio romantico flaubertiano14 («quelque chose de splendide»), che si alimenta della proiezione entro tutte le forme della natura che ne risultano trasfigurate: Mes lèvres tremblaient, s'avançaient, coinme si j'eusse senti l'haleine d'une autre bouche, mes mains cherchaient quelque chose à palper, mes régards tachaient de découvrir, dans le pli de chaque vague, dans le contour des nauges enflés, une forme quelconque, une jouissance, une révélation... (pp. 635-636). L'elusività della forma joyciana si illumina, nella sua trasparenza, sulla allusività referenziale di quella flaubertiana ove il soggetto si confonde e si annulla provvisoriamente soltanto per espandersi in modo illimitato nel corpo della natura. Deposito di segni ideali essa è lo specchio perfetto dell'io narcisista che vi si trova riconfermato desiderandovi il riflesso de�la propria immagine: 180 ... le désir sortait de tous mes pores, mon coeur était tendre et rempli d'une harmonie contenue, et je remuais les cheveux autour de ma tète, je m'en caressais le visage, j'avais du plaisir à en respirer l'odeur, je m'étalais sur la mousse, au pied des arbres, je souhaitais des langueurs plus grandes; j'aurais voulu ètre étouffé sous des roses, j'aurais voÙlu ètre brisé sous les baisers, ètre la fleur que le vent secoue, la rive que le fleuve humecte, la terre que le solei} féconde (p. 636).

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