Ernest Le Blanc - Les Carnot et le président de la République

-50Ce ne fu t pas tout. Gomme ses collègues, comme ses amis, !es hommes de Février, le ministre de l'instruction publique fut en butte aux attaques !es plus injustes et !es plus contradictoires. Pour avoir écrit dans une de ses circulaires, pleines de sagesse et de raison, qu'un paysan pauvre et sans instruction, mais ayant du bon sens et de l'expérience, pourrait n'èti'e pas déplacé sur les bancs de l'Assemblée nationale, il fu t accusé, lui, l'auteur du projet sm·l 'instruction gratuite et obligatoire, de fai re l'éloge de l'ignorance l Telle est la bonne foi et la logique des par tis !

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