-33U3e premiére fois trois anset uno secondefois deux ans, a laissé des traces profondes, et le monde artistique regrette toujours san habile et j uste direction. Depuis son entrée à l'Assemblée nationale M. Turquet a conservé une attitude des plus fermes et des plus correctes. Pas un seui de ses votes n'est en opposition avec le programma de 1869. Pour s'inspirar de ces généreuses idées et de ces ardentes wnvictions républicaines, M. Turquet n'a eu qu'à puiser dans S\ propre famille !es enseignements salutaires qui font !es homnes de bien et !es grands citoyens. San aieul, M. Le Carlier, fut élu, en 1789, membro des Etats généraux, pour le départemmt de l'Aisne. li représenta le département dans toutes !es AS'lemblées de la Révolution et il fut successivement ambassadeur de la République en Suisse et Ministre de la Police. &n grand-oncle, M. Le Carlier, a été, sons la Restauration, dép•té de Laon. Il faisait partie de la députation illustre qui comptait dans ses rangs le général Foy, Labbey de Pompières et d Esterno. Cbose curieuse : en 1819, M. Le Carlier soutenait et faisait triompber dans l'Aisne la cand idature patriotique et de protestation dn général Foy; cnl888. M. Turquet soutcnaitet fa isait tl"iompher dans I'Aisne la candidature patriotique et de protestation du génér•al Boulauger. En vél"ité, avec cet état-major compact, solide et sOr, le général Boulangcr n'a pas l'ait• d'un recruteur d'ennemis de la République. Sculement, il cherche et s'adjoint des citoyens partisans des progt·és quenous n'avons pas, et !es soldats du régime auquella France aspiro et dont nous n'avons que l'étiquette. MALDY.
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