OTES ET ÉCLAIRCISSEMENTS écarte toutes ces questions, contre lesquelles on peut dire qu'il proteste. Il ne veut pas entendre parler des droits qui naissent du travail pas plus que du droit au travail ·: à ses yeux, c'est de l'utopie, du ocialisme, du désordre. Sa philanthropie admet la bienfaisance, la prévoyance, l'encouragement, l'école primaire; elle repou se le droit. 'est-ce pas comme cet usurier qui, au lit de mort, pres é par le confes eur, consenta.it bien à léguer aux malheurenx qu'ii avait dépouillés quelque chose pour les empecher de mourir de faim, m'ais qui se soulevait à l'idée d'une RE TIT TION? LES TR.A. VAILLEURS SOU LE RÉGllfE IMPÉRIAL 1 L'ouvrier d'administration est soumis au régime de la ca erne. Voici des spécimens d'ordre du jonr, emprnntés aux chemins de fer : Ordre de seroice, n° 8 " Du 1er mai au I•' eptembre, les poseurs sont sur u Ie chemin d'une manière continue depuis cinq heures " dn matin jusqn'à sept heures du soir; le reste de " l'année depui Ie lever jusqu'au coucher du soleil. " Il y prennent leur repas aux heures fixéès par un " orclre de service spécial. La durée des repas n'excède u pas deux heure ; durant les grandes chaleurs, ell~ u peut ètre portée à trois heures. Les ouvriers sont présents sur le chemin d'une " manière continue, mème pendant les repas et les u mauvais temps. " A. SIMON, ingénieur en chef. 1 De {,;,,J•tsliceclans-/.<i 1/ét•ol,aion et dans l'Egli.<P, t. Il, pag. 3ii7.
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