NOTES .ET ÉCLAlRCISSEMENTS dent qu'ayant la propri6té du paysan, ils ont par là meme, celle du pucelage. :rvr ais ce privilége n'est pas reconnu; c'est un pur abus de l'autorité et de la force, qu'il en coute squvent chr.r aux seigneurs de se permettre. FRANC-MA(lONNERIE 1 Il est arrivé à la franc-maçonnerie ce qui arrive à tonte secte qui, ayant débuté par une symbolique, ne sait pas comprendre et développer philosophiquement le sens de ses emblèmes : elle s'est égarée dans de fausses spéculations, et corro1npue par des doctrines qui lui sont diamétralement contraires. En ce moment la confusion est au comble dans la franc-rnaçonnerie, ainsi qu'on peut le voir par le MONDE MAQONNIQUE, Revue des loges de tous les rites, n°s de septembre et octobre 1859. Le vide de l'initiation maçonnique est devenu pour tous les frères si évident, si palpable, que beaucoup se retirent et cessent de fréquenter les loges; d'autres publient avec éclat leur séparation. La franc1naçonnerie, si elle croit pouvoir j ouer encore un role dans le monde, a bes<;>ind'une réf orme, non pas d'une réforn1e qui ne porterait que sur le rite, ainsi qu'on en a déjà tant essayé, n1ais d'une réforme qui, allant au fond des choses, 1nettrait en lumière la pensée, la vraie , . pensee maçonn1que. Depuis près d'un siècle, l'immense ma.jorité d~s loges prof esse le cléisme de J. -J. Rousseau, deven.u tout à 1 De la Juslice dans lo Jifvolution et dans l'Église, t. II, pag. 3t2. Biblioteca Gino Bianco
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