Il piccolo Hans - anno IX - n. 36 - ottobre-dicembre 1982
daient le silence, ils avaient l'air de se bouder et ils se bou– daient en effet. Qualche prelievo dal seguito della sequenza b illustra an– cor meglio le nostre affermazioni apportando anche esem– plificazioni supplementari del lavoro testuale complemen– tare prodotto dal discorso amoroso e dal discorso medico: Denise s'approcha en tremblant; arrivée à la porte de Jacques, elle s'arreta incertaine si elle entrerait ou non; elle entra en tremblant, elle demeura assez longtemps à coté du lit de Jac– ques sans oser ouvrir !es rideaux. Elle prit une petite piece de flanelle, Jacques mit sa jambe hors du lit, et Denise se mit à frotter avec sa flanelle au dessous de la blessure, d'abord avec un doigt, puis avec deux, avec trois, avec quatre, avec toute la main. Denise posa sa flanelle au dessus du genou et se mit à frotter là assez ferment, d'abord avec un doigt, avec deux, avec trois, avec quatre, avec toute la main (p. 376). A questa ricchezza di particolari descrittivi riguardanti i primi due stadi dello sviluppo della figura della sedu– zione - particolari che organizzati secondo le tecniche della ripetizione e della elencazione sono espressione essi stessi di articolazioni del discorso amoroso - non corri– sponde un'altrettanta dovizia e chiarezza per quel che riguarda l'esito degli stessi apparati messi in opera. Ecco l'esito della sequenza a/a': Eh bien, Monsieur Jacques, faites de la malheureuse Denise tout ce qu'il vous plaira ... et en disant ces mots la voilà fondant en pleurs et suffoquée par ses sanglots ... Di.tes- moi, Lecteur ce que vous eussiez fai t à la piace de· Jacques? Rien. Eh bien, c'est ce qu'il fit (375). 157
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