Il piccolo Hans - anno IX - n. 36 - ottobre-dicembre 1982
più concretezza e corporeità al discorso amoroso stesso, dall'altra attaccando e stravolgendo i codici attraverso i quali vorrebbe esprimersi, vuoi il codice del «marivauda– ge», vuoi quello perfino «cortese» (cui può rimandarci il luogo specifico del Castello). Ecco infatti come continua il testo appena citato: cherchait tout ce qu'il fallait pour mon pansement, l'avait sous ses yeux et ne le trouvait pas, renversa le vin qu'elle avait fait chauffer, s'approcha de mon lit pour me panser, prit ma jambe d'une main tremblante, délia mes bandes tout de travers, et quand il fallut étuver ma blessure elle avait oublié tout ce qui était nécessarie; elle l'alla chercher, me pansa, et en me pansant je vis qu'elle pleurait (pp'. 367-368). La scena della seduzione, più volte ripresa e rappre– sentata è introdotta da marche circostanziali minuziose: a) Un jour de fete que le Seigneur du chateau était à la chas– se ... (p. 372); sintagma questo ripreso e ampliato due pagine più avanti: a') Un jour de fete que le Seigneur du chateau était à la chasse, et que le reste de ses commensaux étaient allés à la messe de la paroisse qui en était éloignée d'un bon quart de lieu ... (p. 374); b) Une autre fois, c'ètait le matin, Denise était venue panser Jacques. Tout dormait encore dans le chateau (p. 376). Anche lo stadio intermedio è descritto con dovizia di particolari che spesso prendono la forma di una elenca– zione ambivalente. Vediamo ad esempio della sequenza a/a': ...Jacques était levé, Denise était assise à còté de lui. Ils gar- 156
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