Il piccolo Hans - anno VI - n. 22 - aprile-giugno 1979

10 Idem, Souvenirs personnels, Ms. fr. 3957/1, p. 5; edizione Godel, p. 17. Anche qui la mancata attestazione, in Godei, delle varianti priva di importanti rilievi: come in (b) la migliore per­ tinenza di radicaux (rispetto al precedente types) che si ritrova anche nella terminologia mallarmeana; o come in (e) l'intera fra­ se relativa ai valori di P-N. 11 « Le vénérable Adolphe Pictet, l'auteur des Origines Indo­ européennes, était le voisin de campagne de ma famille, pendant une partie de l'année, lorsque j'avais l'age de douze ou treize ans » ( ,F. de Saussure, Souvenirs personnels, Ms. fr. 3957/1, p. 4; edizione Gode!, p. 16. 12 Adolphe Pictet, Les origines Indo-européennes, ou les Aryas primitifs. Essai de paléontologie linguistique, I ediz.: Paris 1859; II ediz. (da cui citiamo): Paris, Sandoz et Fischbacher, 1877, 3 voll., postuma. 13 Ivi, vol. I, Introduction, pp. 20-21. 1 4 Ivi, vol. I, lntroduction, p. 25. 1s Ivi, vol. I, Introduction, p. 14. 16 F . de Saussure, Ms. fr. 3964, cahier intitolato: Carmina Epigr. 2° Sénèque. 3° Borace Martial Ovide; citato da J. Staro­ binski, op. cit., p. 115. 17 A. Pictet, op. cit., vol. I, Introduction, p. 13. 18 S. Mallarmé, Petite philologie à l'usage des Classes et du Monde. LES MOTS ANGLAIS par Mr MALLARM.E' professeur au Lycée Fontanes, Paris, chez Truchy Leroy frères successeurs, s.d. [ma 1877]; ora in Oeuvres complètes, cit., pp. 885-1053. 1 9 G. Genette, Au défaut des langues, in Mimologiques. Voya­ ge en Cratylie, Paris, Seuil, 1976, pp. 257-314; da cui sono tratte anche le dtazioni della riga successiva. 20 E riportata, per oontrobatterla, dal Pictet: « Un écrivain d'un grand talent, et d'une érudition solide, a cherché récemment à établir qu'il faut, en linguistique, comprendre les dialects de la meme manière que l'on entend, en histoire naturelle, les espè­ ces constituées, c'est-à-dire comme un fait actuel et désormais permanent, sans rechercher si les diversités présentes existaient ou non à l'origine. Il ne faut point, suivant lui, placer l'unité au début. L'idiqme des premiers ages aurait été un langage iUimité, capricieux, indéfini, produit d'une liberté sans contròle, et, au lieu de faire précéder les dialects par une langue unique et com­ pacte, il faudrait dire, au contraire, que cette unité n'est résultée que de l'extinction successive des variétés dialectique » (Les ori­ gines indo-européennes, cit., vol. I, cap. III, pp. 56-57). 21 « Du moment que l'on admet que tous les rameaux d'une meme race proviennent d'une source commune, il faut bien l'ad­ mettre aussi pour les langues qu'ils portent toujours avec eux, et dont ils n'ont jamais pu cesser de se servir. {...] En ce qui concerne la famille arienne, nous croyons donc qu'aucun fait ne 36

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