Il piccolo Hans - anno III - n.10 - aprile-giugno 1976

en partie par des féroces (et voleurs) habitaDJs de cette ville-la: et ce fut pourquoi ,le Conseil le fit chasser de son séjour. Quoi qu'il en soit, il y est rentré ,l'année suivante, et comme on dit, par la fenetre. Enfin voulant (à man tour) ainsi parler, je dis (à chameau) que Dufour ,de Rouen me fùt adressé 6 em et à M.r ,Soufflot lorsque nous batissiOI)IS l'hotel de M.r de Montholon, et par M r Descamp directeur de l'Ecole de oette Ville. Dufour désirait apprendre l'ar,chitecture et ila construction; alors arrivé à Paris, son père tbanqueroutier de Rouen ayant (toutes sortes de) moyens pour avoir de l'or ,le fit aller étudier l'architecture à Rome. Vous parlez sincérement Le­ queu? me répondit-il, je le eroi et sachez que ce Normand s'en revint dans 1son pays (peu avant la révolution). Après un espace de tems, Dufour fit un voyage à Londres, pour de la marchandise qui se vend(ait bien) dans Rouen (où là il enseigna à faire des armes à la française). On sait que Monsieur frière de Luis XVI mort ci-était retiré, que là tres­ faciilement il conférait avec les français: ce petit malin àla:man:rere de quelque mal'Chand de votre payis s'étant présenté a son valet pour saluer le Prince; Monsieur ,lui donna, dit-on, lettres pour Paris: Dufour y accouru promptement et de cette réputa­ tion (toutes autres) acquise on lui donna aussi-tòt la place d'inspecteur de la restauration du Chateau de Versaiilles. Au retour du Monarque dans ses Etats, les sieurs fontaine et ·Percier, pui1ssant, et non content de leurs grandes... retro 148 richesses, de leurs prosperités (et courant après toutes les places) demanderent encore (celle) d'Ar­ chitecte du chateau de Versailles (bah, disaient-ils, Dufour n'a qu'a s'associer, aveic les cordonniers, il sait bien faire une botte); Mais sa Majesté fit dire

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